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Faisons maintenant un petit tour en bordure de l'hyper-centre. Commençons par la rue Armand Duportal :
L'architecture moderne du Conseil général (départemental) n'oublie pas non plus la brique :
Rue Borios, voici un bel exemple de "Toulousaine", petite maison sans étage typique des faubourgs du XIXème siècle avec généralement de simples mais charmantes décorations en terre cuite :
Cette Toulousaine est ici équipée d'antéfixes qui cachent les gouttières :
La rue des Chalets a donné son nom au quartier :
Une autre "Toulousaine" :
Un bel immeuble en brique jaune rue Pauilhac :
Place de la Concorde (qui n'a certes pas l'allure de son homonyme parisienne), fut installée au début du XXème siècle la fontaine dite "de la poésie romane" ou encore appelée fontaine Clémence Isaure. Le personnage de Clémence Isaure est particulier, elle passe pour avoir été la bienfaitrice des Jeux floraux au XVème siècle mais ne serait en réalité qu'un personnage imaginaire utilisé par les Capitouls pour financer l'académie du Gai savoir (autre nom des Jeux floraux, plus ancienne société littéraire d'Europe faut-il le rappeler ?) au nez et à la barbe du fisc de cette époque :
Rue de Quéven, cette splendide petite maison était en fait une maison close... :
Le château des Verrières était la propriété du maître verrier Louis-Victor Gesta à la fin du XIXème siècle. A la fois manufacture de vitraux, lieu d'exposition et résidence, il possédait une petite salle des Illustres réalisée par le peintre Bernard Bénézet dont on ne sait trop dans quel état elle se trouve tant le bâtiment a subi d'avanies :
Quelques beaux immeubles de brique boulevard d'Arcole :